Thomas parce que tu m’as vu, tu crois, dit le Seigneur. Heureux ceux qui croient sans avoir vu !

Rites d’ouverture 

• Sans avoir vu I 168 (Cna 494 – Vn 23 et Vn 53) : écrit sur la mélodie de Victimae paschali laudes grégorien, ce chant est écrit comme une hymne qui se chante en alternance entre le chœur ou un soliste et l’assemblée, celle-ci reprenant un texte facilement mémorisable.
• Dieu nous éveille à la foi – Version Barthes IA 20-70-3 (Cna 546, Vn 214 et Vn 63) Version Brazier IA 20-75-5 (Vn 98) : Ce cantique répond à une forme responsoriale, dans laquelle l’assemblée intervient au milieu du couple par une petite acclamation « voici le jour que fit le Seigneur »
• Au matin dans la clarté I 15 (Cna 482 et Vn 38) : L’arrangement proposé par D Hameline dans la version proposée par Voix nouvelles permet de réveiller ce cantique ancien ! en respectant la mélodie originelle, le compositeur sort peu à peu des unissons pour arriver à une polyphonie originale et jubilatoire.

Liturgie de la Parole

Psaume 117 Rendez grâce au Seigneur, il est bon, éternel est son amour ZL 117-70 (Vn 103) : Dans cette version alléluiatique, l’assemblée peut s’associer au chant du psalmiste par des Alléluias qui montent par ton.

Procession des dons

Voici rassemblée dans ce pain B 52-91-3 (Vn 80) : Avec son 3° couplet : « voici rassemblé… ce qu’il faut pour la Pâque : le Christ est avec nous et c’est lui notre Pâque », ce chant correspond à l’ensemble du temps pascal, et peut être pris chaque dimanche.

Rites de communion

• Reste avec nous IP 123 (Cna 815 et Vn 23) : Ce chant est particulièrement adapté à ce dimanche de St Thomas et les disciples d’Emmaüs. Sa forme « choral » nécessite de prévoir une virgule instrumentale entre chaque strophe pour favoriser la respiration du chant et l’assimilation des paroles
• Dans le creux de nos mains KD 362 (Cna  323, Vn 29 et Vn 58) : Le refrain « Reste avec nous, Seigneur, quand vient le soir » est une citation de l’Evangile.
• Tous les chemins du Dieu vivant DP 16-6 (Vn 43) dont le texte de Patrice de la Tour du Pin invite chacun, dans un langage poétique, à rentrer dans l’auberge : Dieu y est à la fois le vivre et le couvert, pour que chacun devienne « homme de demain. »

Isabelle Aimé, diocèse de Tours