Dimanche qui chante
19e dimanche du Temps ordinaire année B
En ce dimanche, nous poursuivons la lecture du discours sur le pain de vie dans l’Évangile de Jean. « Le pain que je donnerai, c’est ma chair, donnée pour la vie du monde. » Déjà le prophète Élie en a fait l’expérience par le pain mystérieusement déposé par l’ange, Dieu lui fait signe qu’il est toujours présent ! Aujourd’hui aussi, Dieu est présent par sa Parole, son corps et il nous donne l’Esprit Saint.
Ouverture de la célébration
Le texte d’évangile de ce dimanche est à l’origine du chant Rude est le chemin X 949-1 [A 184-1] ou X 571 [A 571] (Vn 70) « Jésus, tu es le pain de vie, tu nous donnes la vie. ». Ce jour que fit le Seigneur Y 30 [L 30], Peuple du Dieu vivant K 42-70 (Vn 29) ou Par la musique et par nos voix Y 43-38 (Vn 30).
Liturgie de la Parole
Goûtez et voyez comme est bon le Seigneur ZL 33-49. Avec le psaume 33, c'est une merveilleuse action de grâce que la liturgie nous offre pendant trois dimanches : bénir, glorifier, … magnifier le Seigneur, car il est bon !
Au cours du mois d'août, les catholiques sont invités à prier pour que les dirigeants politiques "soient au service de leur propre peuple" et pour qu'ils travaillent pour le bien commun, le développement humain intégral et qu'ils s'occupent de ceux qui ont perdu leur emploi." On insérera cette intention à la prière universelle.
Liturgie eucharistique
Ces dimanches du discours du pain de vie nous invitent à mettre en valeur la procession des dons. Pour accompagner ce rite Voici le pain et le vin D 72-72 ou reprendre le chant de dimanche dernier Dieu notre Père, voici le pain B 57-30. Pendant la communion, Prenez et mangez D 52-67, La coupe que nous bénissons D 361-1 (Cna 331), Nous t’avons reconnu, Seigneur D 59-24, Laissons-nous transformer par la lumière du Christ N 47-99 en lien avec le psaume 33 « Goutez et voyez comme est bon le Seigneur ».
Envoi
Après la messe, prendre le temps de la rencontre comme nous y invite le Pape François : « parler de “culture de la rencontre” signifie que, en tant que peuple, chercher à nous rencontrer, rechercher des points de contact, construire des ponts, envisager quelque chose qui inclut tout le monde, nous passionnent. Cela devient un désir et un mode de vie ». (Fratelli Tutti, n°216)